Le 22 mars 1997, un policier trouvait les premiers sacs-poubelle contenant des morceaux de corps humain.
Vingt ans après cette découverte, l'affaire du "dépeceur de Mons" reste un mystère. L'enquête continue, certes, notamment à la lueur des nouvelles techniques d'analyse de l'ADN. Un seul enquêteur, le chef d'enquête, travaille toujours aujourd'hui sur le dossier, alors que les pistes possibles ont été exploitées par la "Cellule Corpus", spécialement et uniquement créée pour gérer l'enquête, dirigée jadis par le juge d'instruction Pierre Pilette du Parquet de Mons. Cette cellule n'existe plus aujourd'hui.
Personne ne sait dire si les faits ont été commis par un ou plusieurs auteurs, ni même comment les victimes ont été tuées avant d'être découpées à la scie et emballées dans des sacs-poubelle.
Les victimes
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Disparue depuis le 4 janvier 1996 Son bassin fut découvert le 21 janvier 1996 dans l'Escaut, dans le Nord de la France. |
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Disparue depuis le 21 juillet 1996 Son buste fut découvert le 22 juillet 1996 dans les eaux de la Haine, au Chemin de l'Inquiétude à Mons. |
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Disparue depuis le 22 décembre 1996 Ses bras et jambes furent découverts le 22 mars 1997 dans huit sacs-poubelle rue Emile Vandervelde à Cuesmes. |
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Disparue depuis le 16 mars 1997 Son buste fut découvert le 24 mars 1997. Sa tête fut découverte le 12 avril. Ses cuisses et bras ont été découverts le 18 avril. |
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Disparue depuis juillet 1997 Son crâne fut découvert par un enfant au Chemin de Bethléem à Hyon le 18 octobre 1997. |